Catégorie : Événements


Dédicace de Jean-Michel Vernochet : "Anatomopathologie du wokisme"

Samedi 22 novembre 2025 à la librairie Duquesne de 15h00 à 18h00, Jean-Michel Vernochet dédicacera son dernier livre : « Anatomopathologie du wokisme » (cahiers 1 et 2) ainsi que ses précédents.

Dans ce premier cahier de son « Anatomopathologie du wokisme », Jean-Michel Vernochet ne se livre pas à une simple critique, mais à une véritable dissection clinique de ce qu’il considère comme une maladie mortelle pour la civilisation occidentale. Le titre lui-même pose le cadre : le « wokisme » est un mal à analyser, dont il faut comprendre les causes et les effets.
L’ouvrage déploie une analyse qui lie indissociablement le politique, le démographique et le mental. Partant d’un état des lieux géopolitique, l’auteur articule sa pensée autour de la notion de « submersion », qu’il décline en sentiment migratoire, en projet de « Grand Remplacement », et en réalité politique incarnée par des figures comme Mélenchon ou Macron.
La force de l’analyse réside dans sa capacité à relier des phénomènes en apparence distincts. Vernochet établit un lien entre la « mort du monde blanc » (illustrée par les exemples de la Rhodésie ou de l’Afrique du Sud) et ce qu’il nomme la « pollution chimique et santé publique », où les perturbateurs endocriniens joueraient un rôle. Il s’attaque enfin à la « néo-science », qu’il s’agisse du « fascisme et obscurantisme » ou du « dogmatisme scientifique » sur le climat, considérés comme des facettes du même mal.
C’est un essai radical, qui utilise des termes chocs pour poser un diagnostic sans concession sur les périls qui, selon l’auteur, menacent notre monde.

Dans ce second cahier de son « Anatomopathologie du wokisme », Jean-Michel Vernochet poursuit sa dissection clinique de ce qu’il considère comme une idéologie mortifère. Le fil conducteur de cet opus est la « négation du réel », que l’auteur décline en plusieurs chapitres pour en exposer les manifestations.
L’analyse s’ouvre sur une critique de la gouvernance mondiale et du « freudo-marxisme », présentés comme les deux faces d’une même idéologie totalitaire. Vernochet s’attaque ensuite à ce qu’il nomme la « confusion mentale au chaos sociétal », où il analyse l’idéologie et la théorisation de la révolution sociétale comme une « rupture épistémologique ». Il y voit une « science sans conscience » et un art déconstruit, qualifié de « culture de l’immonde ».
La dernière partie de l’ouvrage aborde frontalement les conséquences de cette négation du réel : l’antispécisme, la « guerre idéologique » et, enfin, l’avènement d’une « termitière transhumaine ». Pour l’auteur, la censure, la désinformation et la « tyrannie consensuelle » sont les outils de ce projet, qui aboutit à un « Grand remplacement idéologico-théologique ».
C’est un essai dense, à la langue volontairement polémique, qui pose un diagnostic radical sur une idéologie qu’il juge être une menace existentielle pour la civilisation.


Dédicace de Philippe Pichot-Bravard : "L'homme transformé – But des révolutions totalitaires"

Samedi 8 novembre 2025 à la librairie Duquesne de 14h00 à 18h00, Philippe Pichot-Bravard dédicacera son dernier livre : « L’homme transformé – But des révolutions totalitaires » ainsi que ses précédents.

Fruit de la modernité, le totalitarisme est une forme de régime récente qui se distingue radicalement du despotisme, ou de la tyrannie, que nous appelons aujourd’hui « dictature », par sa finalité : la transformation de l’homme.
 
Cédant à la tentation de l’hubris, le totalitarisme ambitionne de doter l’État d’un pouvoir sans limite afin de faire table du passé et de construire un monde et un homme nouveaux. Cet homme transformé est le but ultime de toutes les révolutions totalitaires depuis 1793, qu’il s’agisse de l’expérience jacobine française, de l’expérience communiste, tant en Russie qu’en Asie, et de l’expérience national-socialiste allemande.
 
Après le procès de Nuremberg, d’une part, et l’effondrement du communisme en Europe orientale d’autre part, le totalitarisme semble durablement disqualifié, et son retour, impossible avant longtemps, en raison de la victoire d’une démocratie libérale qui fut un temps considérée comme la fin de l’histoire.
 
L’ambition d’une transformation de la société et de l’homme, fortifiée par la mentalité transgressive dominante, ne cesse pourtant de se renforcer dans nos démocraties libérales occidentales, servie par l’emprise de plus en plus étouffante exercée par l’État sur la société et par les mécanismes de conformisme intellectuel, dont le wokisme est l’expression la plus récente et la plus radicale. A l’heure du transhumanisme, nouvel eugénisme, le péril totalitaire reste entier.
 
Revisiter l’histoire des totalitarismes semble dès lors indispensable.
 
Philippe Pichot-Bravard, maître de conférences HDR en histoire du droit, membre titulaire de l’Académie d’Angers, est l’auteur d’un essai remarqué sur La Révolution française, couronné par le Prix Renaissance des Lettres en 2015, ainsi que d’un essai sur Le droit naturel, couronné en 2024 du prix de l’A.E.S. Il enseigne l’histoire du droit à l’Université de Brest, la philosophie du droit à l’Université catholique de l’Ouest à Angers.

Samedi 27 septembre 2025 à la librairie Duquesne de 15h00 à 18h00, Adrien Abauzit dédicacera son dernier livre : « Le Roi, le Dauphin et le Connétable » ainsi que ses précédents.

Comment la France, après deux ans et demi d’armistice, a-t-elle repris la guerre contre l’Axe ?
Aussi invraisemblable que cela puisse paraître, l’histoire officielle se permet d’occulter cette question cruciale.
La vérité est pourtant simple : le 13 novembre 1942, en application d’un plan établi le 4 août 1940 avec le maréchal Pétain, et avant de recevoir son approbation par télégramme secret, l’amiral Darlan, Dauphin du régime de Vichy, relance officiellement la France dans la guerre contre l’Axe, et plus particulièrement, l’armée d’Afrique, forgée par Weygand, le Connétable.
Dès le 19 novembre, les troupes françaises du général Barré croisent le fer avec l’armée allemande. Le général de Gaulle est totalement étranger à ces évènements.
Aujourd’hui, seule une poignée de Français n’ignore pas que la reprise des combats est l’oeuvre de Vichy – le dernier royaume de France – et non celle du général de Gaulle, dont toute la fortune politique consista à s’attribuer – grâce à l’assassinat de Darlan et l’inconsistance de Giraud – l’action de ses ennemis et les exploits d’une armée qu’il n’a pas créée et qui ne voulait pas de lui.
L’histoire de Vichy n’est pas faite. Autrement, les Français sauraient comment leur dernier royaume a combattu l’Axe ; ils sauraient comment les communistes ont trahi la France et connaitraient la bataille que Vichy a dû mener contre la plus grande vague de terrorisme de l’histoire du pays.
Prisonnière des mensonges de la Réinitialisation de 1944 et de la résurrection de la Révolution qui s’en est suivie, la France a rompu avec son histoire et perdu son identité.
Pour la retrouver, et espérer traverser le siècle, la France n’a pas d’autre choix que d’éradiquer une fois encore, « les mensonges qui lui ont fait tant de mal ».


Dédicace d'Éric Leclercq : "Louis de Frotté"

 

 

Samedi 20 septembre 2025 à la librairie Duquesne de 14h00 à 19h00, Éric Leclercq dédicacera son dernier livre : « Louis de Frotté – Le chouan qui défia la Révolution » ainsi que ses précédents.

Beaucoup l’ont oublié aujourd’hui, mais la Normandie peut s’enorgueillir d’avoir elle aussi compté une chouannerie, dont le chef était l’intrépide Louis de Frotté.
 
Lorsque la Révolution française éclate, Louis, comte de Frotté, alors âgé de vingt-trois ans, comprend vite que les évènements ne peuvent que conduire à la Terreur. En 1791, au moment de l’arrestation de Louis XVI, à Varennes, il émigre pour défier la tyrannie révolutionnaire, avant de revenir en France pour rallier et renforcer le mouvement chouan.
 
À la tête de l’armée catholique et royale de Normandie, Louis de Frotté se jette corps et âme dans la Contre-Révolution.
 
Durant une décennie, cet homme fidèle à la royauté prend tous les risques pour défendre les principes auxquels il croit. À bien des égards, Louis de Frotté peut être comparé à Charlotte Corday, normande elle aussi, et qui se sacrifia également pour tenter de sauver son idéal.
 
Dans cette biographie, qui se veut être une confession du héros normand, Éric Leclercq plonge le lecteur au cœur de la chouannerie normande.



Né le 3 juin 1972, Éric Leclercq demeure à Caen et écrit depuis l’âge de 13 ans. Depuis l’adolescence, il se passionne pour l’Histoire et se consacre à la rédaction de récits historiques.


 

 

Samedi 19 juillet 2025 à la librairie Duquesne de 15h00 à 18h00, Éric Leclercq dédicacera son dernier livre : « Louis de Frotté – Le chouan qui défia la Révolution » ainsi que ses précédents.

Beaucoup l’ont oublié aujourd’hui, mais la Normandie peut s’enorgueillir d’avoir elle aussi compté une chouannerie, dont le chef était l’intrépide Louis de Frotté.
 
Lorsque la Révolution française éclate, Louis, comte de Frotté, alors âgé de vingt-trois ans, comprend vite que les évènements ne peuvent que conduire à la Terreur. En 1791, au moment de l’arrestation de Louis XVI, à Varennes, il émigre pour défier la tyrannie révolutionnaire, avant de revenir en France pour rallier et renforcer le mouvement chouan.
 
À la tête de l’armée catholique et royale de Normandie, Louis de Frotté se jette corps et âme dans la Contre-Révolution.
 
Durant une décennie, cet homme fidèle à la royauté prend tous les risques pour défendre les principes auxquels il croit. À bien des égards, Louis de Frotté peut être comparé à Charlotte Corday, normande elle aussi, et qui se sacrifia également pour tenter de sauver son idéal.
 
Dans cette biographie, qui se veut être une confession du héros normand, Éric Leclercq plonge le lecteur au cœur de la chouannerie normande.



Né le 3 juin 1972, Éric Leclercq demeure à Caen et écrit depuis l’âge de 13 ans. Depuis l’adolescence, il se passionne pour l’Histoire et se consacre à la rédaction de récits historiques.


Dédicace de Jean-Yves Le Gallou : "Mémoires identitaires"

Samedi 26 avril 2025 à la librairie Duquesne de 15h00 à 18h00, Jean-Yves Le Gallou dédicacera son dernier livre : « Mémoires identitaires – 1968-2025 : les dessous du Grand Basculement » ainsi que ses précédents.

Jean-Yves Le Gallou publie ses mémoires, mais cela ne signifie pas qu’il se retire du combat. Il entend tout simplement, loin de toute nostalgie et de tout règlement de comptes, témoigner et prendre acte pour l’avenir.

C’est d’abord le témoignage d’une vie. Le jeune homme se destinait tout naturellement au service de l’État et allait tout naturellement intégrer les élites dirigeantes du pays. Mai 68 est pour lui une révélation. Celle de la faillite de ces mêmes élites face à la chienlit maîtresse des jeunes esprits.

Jean-Yves Le Gallou entre alors en dissidence. Parallèlement à de brillantes études, qui le mèneront jusqu’au diplôme de l’ENA, il s’engage à droite dans la voie du combat métapolitique. D’abord au GRECE puis au Club de l’Horloge, en compagnie de son ami Yvan Blot.

Il transite un temps par la droite giscardienne, au sein du Parti républicain, dans l’espoir de tirer la droite libérale vers les valeurs et les enjeux identitaires. En 1985, il publie chez Albin Michel La Préférence nationale : réponse à l’immigration. Il rencontre à cette occasion l’académicien et ancien ministre Alain Peyrefitte qui lui déclare, amèrement lucide sur son propre camp : « Vous avez raison. C’est ce qu’il faut faire. Et c’est ce qu’on ne fera pas. »

Cette révélation décide de l’engagement de Jean-Yves Le Gallou aux côtés de Jean-Marie Le Pen, au Front national. Bientôt conseiller régional d’Île-de-France, puis député européen, Le Gallou devient, dans le sillage de Bruno Mégret, l’une des principales chevilles ouvrières du parti, travaillant à l’élaboration d’une doctrine (la préférence nationale) et à l’implantation territoriale.

La crise du Front national en 1998 et la scission qu’elle occasionne brisent cette dynamique.

Après l’échec de la dissidence mégrétiste, à laquelle il participe, Jean-Yves Le Gallou se réinvestit dans le combat identitaire, avec la fondation Polemia, puis avec l’Institut Iliade. Il s’agit de conduire la réappropriation de notre histoire, de notre culture et de notre civilisation. C’est la clef de l’avenir pour les Français et les Européens confrontés au Grand Remplacement.

Mais à notre sens, il ne saurait y avoir de redressement authentique sans réappropriation par les nôtres de la religion qui a fait l’Europe et la France chrétiennes : pas seulement d’un point de vue identitaire, mais dans la lumière de la foi catholique. Toutefois, et comme toujours avec Jean-Yves Le Gallou, on lira cet ouvrage avec grand profit.


Né en 1948, Breton réfractaire, alpiniste, co-fondateur de l’Institut Iliade, Jean-Yves Le Gallou dirige la Fondation Polemia pour la réinformation. Il a notamment publié chez Via Romana L’Album des bobards, 10 ans de fake news dans les médias (2019), et L’Invasion de l’Europe : les chiffres du Grand Remplacement (2021).

 

 


Dédicace de Philippe Prévost : « Vraie et fausse laïcité »

Samedi 8 mars 2025 à la librairie Duquesne de 15h00 à 18h00, Philippe Prévost dédicacera son dernier livre : « Vraie et fausse laïcité » ainsi que ses précédents.

Charte de la laïcité, polémiques sur le voile ou l’abaya, fête de Hanoucca à l’Élysée, comme l’a écrit Jean-Marie Mayeur, historien spécialiste de la IIIe République, « Peu de mots sont plus chargés de passion que celui de laïcité ».
 
Ce concept a deux sens très différents, pour ne pas dire opposés. Un sens traditionnel dérivé de la parole du Christ : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » et celui donné à partir de la Révolution ou sous prétexte d’unité, tout a été donné à César et rien à Dieu.
 
Ces deux conceptions de la laïcité sont incompatibles contrairement à ce qu’ont cru les partisans du Ralliement et du dernier Concile.
C’est cette histoire mouvementée ou les torts ne sont pas tous du même côté, loin de là, que raconte ce livre.
 
Historien et essayiste, Philippe Prévost est membre du Bureau politique de l’Action Française.

Dédicace d'Anne Le Pape : "Léon Daudet, critique littéraire" et "La tradition liturgique"

Samedi 14 décembre 2024 à la librairie Duquesne de 15h00 à 18h00, Anne Le Pape dédicacera ses livres : « Léon Daudet, critique littéraire » et  « La tradition liturgique – Les rites catholiques latins et orientaux reçus des apôtres ».

« Léon Daudet, critique littéraire »

Plongé dès sa plus tendre enfance dans la littérature dont son père Alphonse est alors l’un des plus magnifiques représentants, Léon Daudet (1867-1942) ne l’abandonnera jamais, et, en parallèle avec son activité politique à l’Action Française, s’illustrera avec sa faconde et sa gourmandise proverbiales dans les genres du roman, du pamphlet, des mémoires et de la critique. Membre du jury Goncourt, c’est grâce à lui que Proust sera couronné en 1919, et que Céline sera sur le point d’obtenir le prix en 1932

« La tradition liturgique – Les rites catholiques latins et orientaux reçus des apôtres »

On ne le sait pas toujours, mais l’Église catholique comporte de multiples rites liturgiques, dont la richesse vaut la peine d’être connue. Le présent ouvrage constitue précisément un guide menant à la découverte « sur le terrain » des diverses liturgies catholiques d’origine apostolique.

– Un travail de journaliste, décrivant les cérémonies et interrogeant prêtres et connaisseurs.

– Accompagnant celle des divers rites latins encore existants, une découverte de l’ensemble des rites orientaux catholiques remontant aux Apôtres.

– Dépassant l’idée du caractère « bizarre » ou « exotique » des liturgies orientales, une enquêtes qui permet au fidèle catholique latin de les appréhender en les restituant dans leur histoire propre.

 
Anne Le Pape, docteur es Lettres (thèse soutenue à La Sorbonne sur la critique littéraire de Léon Daudet), s’est consacrée au journalisme. Elle a été directrice des éditions fondées par François Brigneau, a eu de très nombreux entretiens avec lui ainsi que l’accès à une documentation ample et précise, notamment aux archives familiales. Le Qui-suis-je ? Brigneau constitue la première biographie de ce journaliste de combat.

 


Vendredi 6 décembre 2024 à la librairie Duquesne de 16h00 à 18h30, Alain Pascal dédicacera son livre : « Pour une révision totale de l’Histoire – Faire table rase de la table rase ».

Cet ouvrage est un cri d’alerte, un appel à la raison et à la quête de la Vérité. Alain Pascal nous livre ici un ouvrage iconoclaste, mais rigoureusement documenté, qui invite à une profonde réflexion sur l’Histoire et ses récits officiels.
 
Selon l’auteur, les Temps modernes, inaugurés par la Révolution, représentent une tragique parenthèse de l’Histoire. En effaçant l’héritage de l’intelligence chrétienne – seule voie offrant à l’humanité la liberté véritable et la raison -, ils ont précipité la régression vers la barbarie. Pour camoufler cette dégradation, universités et médias entretiennent les illusions des Lumières : un Moyen Âge obscurantiste, une Renaissance salvatrice, une philosophie moderne rationnelle et une ère de progrès issue de la Révolution.
Pourquoi ces mensonges perdurent-ils ? Parce que la véritable Histoire, celle qui révèle la Vérité religieuse, contredit ces fictions. Pour Pascal, l’Histoire ne commence pas avec la Révolution, mais avec la Révélation du Dieu de la Bible, dont le Christ, Fils incarné, s’est sacrifié pour l’humanité. À l’inverse, la Révolution marque un retour aux cultes antiques exigeant des sacrifices humains. Ainsi, le monde moderne se fonde non seulement sur le mensonge, mais aussi sur une violence sacrificielle qui a ensanglanté le XXe siècle, et dont les dérives pourraient s’aggraver sous la dictature mondialiste.
 
Réviser l’Histoire est donc une tâche urgente. Car, loin d’être une affaire purement politique, l’Histoire est d’essence religieuse, depuis toujours et sans exception. Cet ouvrage invite le lecteur à « faire table rase de la table rase », car l’avenir de la France, de l’Europe, et de la civilisation chrétienne occidentale est menacé par des forces occultes et diaboliques qui dominent le monde contemporain.
 
Alain Pascal, historien spécialisé en contre-histoire et en réseaux occultes, est l’auteur d’une œuvre significative, dont L’Intelligence du Christianisme (tomes 1 et 2), publiée aux Éditions du Verbe Haut.

 



Chers clients, en raison de nos congés annuels, notre magasin ferme ses portes du 29 juillet au 26 août 2024. Nous serons heureux de vous accueillir dès le mardi 27 août dès 11h15. Pendant cette période, vous pouvez si nécessaire passer vos commandes de livres en ligne sur www.chire.fr et vous les faire expédier ou les retirer dès notre retour dans votre librairie. Merci de votre compréhension et bonnes vacances ! Votre libraire

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