Description
Notre faux ami l’Amérique – Pour une alliance avec la Russie
Préface de Piotr Tolstoï.
Notre planète est-elle dirigée par un groupuscule de financiers nomades et apatrides œuvrant pour l’établissement d’un gouvernement mondial ? Est-elle sous l’empire des propriétaires de Vanguard, qui n’aiment pas être sous les feux de la rampe, à savoir les Rothschild, les Orsini, les Bush, la maison royale britannique, les DuPont, les Goldman Sachs, les Soros, avec leur Open Society, les Morgan, les Vanderbilt, les Rockefeller et leurs satellites ?
Ces familles, adeptes des clubs très fermés et de l’ostracisme social, sont parfaitement identifiées dans la chronologie élaborée par l’auteur. Leurs sociétés tentaculaires, secrètes et discrètes, ont pour but essentiel de trouver, d’enrôler et de placer, selon leurs besoins, une élite politicienne à la tête des pays de leur choix, pour exécuter à la perfection les termes de leur agenda établi sous l’autorité du Forum économique mondial de Klaus Schwab et consorts.
Que ce soit dans le secteur financier, économique, écologique, alimentaire, ou dans celui des Big Pharma, des médias mainstream, des fonds de pensions et d’investissements, notamment de BlackRock et de Vanguard, cette hyperclasse, appuyée par des sociétés-écrans, des fondations suspectes, dont celle de Bill et Melinda Gates, des ONG ambivalentes, ainsi que par des mouvements sociaux des minorités (Genre, LGBétisme, Wokisme, Black Lives Matter, etc.), agit pour mettre en esclavage le plus grand nombre de citoyens du monde et rendre leur quotidien infesté par des pandémies, des crises de tout genre, des guerres et des lendemains qui déchantent !
Alors que rien ne semble pouvoir arrêter ce mastodonte, les voix de plusieurs complotistes sont parvenues à le freiner, voire à le paralyser, dans sa course destructrice de l’humanité, en dépit des moyens colossaux dont il dispose…
En parcourant ce livre, chacun se forgera sa propre opinion sur l’implication, ou non, de cette caste méprisable qui continue de susciter la polémique
Sommes-nous des citoyens transatlantiques ou des citoyens paneuropéens ? Pourquoi les Européens devraient-ils s’insérer dans un Commonwealth du XXIe siècle piloté par Washington ? L’avenir de l’Europe est eurastique, pas euro-atlantique.
L’Europe ne va pas de Washington à Bruxelles, mais de Brest à Vladivostok. L’Océan Atlantique sépare l’Amérique de l’Europe, alors que l’Europe et la Russie sont deux grands voisins complémentaires. La Grande Europe doit devenir « notre Maison Commune et non pas un théâtre d’opérations militaires » a pu dire Mikhaïl Gorbatchev.
Si la France n’a pas été rayée de la carte de l’Europe pendant les deux dernières guerres mondiales, c’est aux 1700 000 russes tués pendant la premières et aux 27 millions pendant la deuxième, qu’elle le doit, pas à l’Amérique !
La Russie est le bouclier protecteur de l’Europe à l’Est face à la Chine, à la Turquie, au Caucase, au Moyen-Orient et au monde musulman de l’Asie centrale. L’Europe doit se considérer comme l' »Hinterland » de la Russie, les grands espaces de cette dernière étant son » Far-East « . Le contrôle de la Sibérie sera l’enjeu stratégique du XXIe siècle entre la Grande Europe et la Chine. L’Europe doit cesser de jeter la Russie dans les bras de la Chine ! En Asie, l’Européen, c’est le Russe !
L’avenir de l’Europe n’est pas dans une Union européenne fédéraliste qui gonfle démesurément jusqu’à l’éclatement, mais dans une confédération européenne des nations qui rivalise et coopère amicalement avec la Russie.
L’Europe doit rompre avec l’Occident, l’ennemi des peuples. Tout se passe comme si l’Européen avait fait son temps et devait devenir une relique de l’histoire face à la Chine, à l’Inde, aux pays émergents et au Brésil. Seule la Grande Europe avec la Russie est susceptible de redonner aux nations européennes en déclin un sentiment d’espoir, de grandeur, de puissance, de renouveau exaltant ! L’homme européen a besoin de retrouver ses racines et sa foi en l’Avenir qui est à l’Est.
La voix de l’Europe ne portera qu’en fonction de son retour aux valeurs traditionnels européennes, à démographie en expansion, au développement de son économie et de son industrie, au rayonnement de sa culture et de ses technologies, à une politique de défense puissante et autonome.
La seule vraie question pour les Européens, c’est de faire le choix suivant : Rester Européen en se rapprochant de la Russie ou devenir Américain en acceptant le protectorat de l’OTAN, en perdant leur identité européenne. La Russie et l’Europe ont des intérêts communs et un Avenir commun sur ce grand continent paneuropéen qui va de l’Océan Atlantique jusqu’à l’Océan Pacifique, en France et ailleurs. Cependant, il est indéniable que des preuves de sa culpabilité existent. Il était nécessaire de les rassembler et de les révéler. Les voici…
Marc Rousset est né le 20 mai 1944 à Lyon (7è). Diplômé H.E.C, Docteur ès sciences économiques, MBA Columbia University, AMP Harvard Business School, il a occupé pendant 20 ans des fonctions de directeur général dans les groupes multinationaux Aventis, Veolia, Carrefour, en France, en Asie et au Brésil. Il a écrit « Pour le Renouveau de l’Entreprise » préfacé par l’ancien Premier ministre Raymond Barre. Il a obtenu le Prix de l’Académie des Sciences Morales et Politiques (1994) avec « La Nouvelle Europe de Charlemagne » préfacée par le ministre et académicien Alain Peyrefitte. Il a ensuite écrit « Les Euro-ricains », préfacé par Yvon Gattaz, ancien président du MEDEF et membre de l’Institut. Aujourd’hui économiste, écrivain, chroniqueur sur Boulevard Voltaire, son avant-dernier ouvrage « La Nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou », préfacé par Youri Roubinski de l’Académie des Sciences de Russie, a connu un très grand succès tant en France qu’en Europe et en Russie. Dernier ouvrage paru en 2016 : « Adieu l’Argent-roi ! Place aux héros européens ! Critique de la civilisation de l’Argent et Apologie de l’héroïsme« .