Samedi 11 juin 2022 à la librairie Duquesne de 15h00 à 18h30, Stella Kamnga dédicacera son livre : « La France n’est plus la France – Dialogue non coupable ».
Stella Kamnga, chroniqueuse dans Les Grandes Gueules de RMC, livre ici au journaliste François-Xavier Consoli un entretien à bâtons rompus et sans concession.
Une arme contre le politiquement correct, l’instrumentalisation et la victimisation systématiques des étrangers au mépris de la France.
Tout y passe, son enfance au Cameroun, son rêve de la France, sa déception face au grand remplacement, l’antiracisme de pacotille, jusqu’aux espoirs d’une France rénovée.
« Oui, la France mérite d’être aimée ! »
« Jules Monnerot définissait l’ « antiracisme » comme « un racisme contre les racistes », une « supercherie de masse » (voir le dossier édité en 1983 par la revue Itinéraires, Le soi-disant anti-racisme). Les propos de Stella Kamnga (recueillis par François-Xavier Consoli) ne viendront pas contredire cette définition.
« Stella Kamnga, arrivée en France en 2017 pour y poursuivre ses études, est née en 1994 au Cameroun d’un père « souvent violent et absent », et d’une mère qui a élevé ses enfants dans les valeurs chrétiennes (même si l’auteur a fait personnellement le choix de l’athéisme) et a bénéficié d’un enseignement scolaire (encore en vigueur au Cameroun) « que l’éducation nationale en France semble considérer comme dépassé et vieillot ».
« Ses parents étant issus de deux tribus opposées, elle a, dès son enfance, « toujours senti ce contraste, ce déchirement entre deux peuples qui se haïssaient ». Elle s’est rendu compte en France que ses soi-disant « frères de couleur » n’étaient pas là pour l’aider, mais pour l’enfoncer… Seuls des Français (blancs) l’ont vraiment aidée.
« C’est sans langue de bois que Stella Kamnga dénonce « cette escroquerie qu’est le « racisme systémique » » à travers son analyse de l’affaire George Floyd, « le grand retour de l’affaire Traoré », ceux qui ont fait de l’antiracisme un juteux fonds de commerce : Rokhaya Diallo, Lilian Thuram, Assa Traoré, etc.
« Saluant le discours d’Éric Zemmour qui « vient libérer la parole sur ces sujets », elle défend les policiers « lâchés par leur hiérarchie », plaide en faveur de la famille traditionnelle et d’une politique de la natalité, dénonçant le « féminisme délirant et outrancier ». Enfin, elle défend les bienfaits de la colonisation (tout en soulignant l’erreur quant à l’esprit dans lequel elle a été accomplie), prenant fait et cause pour une « politique intelligente de remigration avec les pays africains ».
« En conclusion, cet entretien est une bouffée d’oxygène dans l’air de notre monde vicié par le politiquement correct ».